Les paroles sont dans la vidéo. D'ailleurs je remercie encore les gens qui postent ces vidéos, grâce à eux je peux les partager ici.

Tu penses quoi toi Tu dis rien
En une heure, de tes bras souffler
La colère du monde

Voyager,
Etre là sauver chacune des secondes
Et protéger du froid les idées sans confondre
Tu vois je rêve encore
Penser plus vite que mon ombre

Vois-tu je serais roi
Jusqu'à celui de ce monde
Te souviens-tu de moi
Jusqu'au son de ma voix
Suis je aussi maladroit
Et tristesse à la fois
Tu vois je rêve encore
Marcher plus vite que mes pas

Mais toi tu penses quoi ? Tu dis rien

Soulager de tes doigts douleur et poussière mon ange,
Au voleur de ta voix plier chacune des phalanges
Me suggérer comme ça des yeux du bout des doigts
Tu vois je rêve encore penser plus vite
Je peux pas, mais toi tu dis rien,
Tu oublies Tu penses à rien, tu souris ?
Mais qu'est-ce qu'on est bien, on oublie
On traverse le haut, nos bas s'épousent sans lieu sombre

Et toi tu penses quoi ? Tu dis rien

Moi je veux bien m'arrêter si tu veux danser
Moi je veux bien tout quitter
Si tu veux bien t'approcher
Moi je veux bien m'arrêter si tu veux danser
Moi je veux bien tout quitter
Si tu veux bien t'approcher

Mais toi tu penses quoi ? Tu dis rien.

Mais toi, tu dis rien
Tu oublies Tu penses à rien, tu souris ?
Mais qu'est-ce qu'on est bien, on oublie
On traverse le haut, nos bas s'épousent sans lieu sombre
Et toi tu penses quoi ? Tu dis rien

"Je n'ai rien à ajouter, la musique parle d'elle même. "

Le film se passe dans une petite ville nommée Jackson dans le Mississipi. Durant les années 60, trois femmes que tout  devait opposer vont nouer une incroyable amitié. Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l'écriture d'un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque.
De cette alliance improbable, va naître une solidarité extraordinaire. De part leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l'ordre établi et d'affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement.

" J'ai déjà regardé ce film un bon nombre de fois, comme vous pouvez le constater, quand j'aime un film, je le regarde sans compter et sans modération. Il est rare que je sois réellement touchée par un film, et que je l'aime au point de le regarder plusieurs fois ( plusieurs fois, même la même soirée, et plusieurs jours de suite). La couleur des sentiments, est un film qui prouve que malgré nos différences, que se soit raciale, physique, ou morale on sera rejeté de la société et même de la part de nos propres parents.

Ce film démontre que lorsqu'on est exposé à des faits qui nous insupportent, qu'on trouve anormal mais que la société tolère et encourage, ne doit pas nous limiter à suivre le mouvement. Même si ça veut dire qu'on doit se retrouver seule, même si on sait que d'autres pensent comme nous, mais n'osent l'avouer par peur justement du rejet.

Qui n'a pas déjà constaté cela dans sa vie ? Le courage est d'assumer nos pensées, de respecter nos valeurs et aller au bout de ce que l'on est et veut, de prouver le contraire et donner le courage à ceux qui pensent comme vous, d'assumer et d'affronter ensemble, de leur dire qu'ils ne sont pas les seuls. Quand une chose est intolérable, il ne faut pas rester assis les bras croisé en se disant " c'est comme ça, qu'est ce que je peux y faire ? " non il faut se lever et faire entendre sa voix, même si le prix en coûte de se faire rejeter, je vous assure que ça ne durera pas longtemps avant que quelqu'un vienne vous trouver et vous dire " tu sais, je pense que tu as raison, mais je n'ai jamais osé l'exprimer, j'avais peur ".

Ce film pointe du doigt ces faits, la société n'a pas tant changé que ça, les différences dérange toujours, partout il y a des moqueries envers les autres et certains pour se faire accepter, comprenant à moitié la douleur engendrée des ou de la personne qui subit va suivre le mouvement, même si elle sait au fond d'elle que ce n'est pas juste. Il faut avoir connu l'exclusion sociale, pour comprendre réellement cette souffrance, et si on a la chance, les moyens, les cartes en mains pour  se lever et de se faire entendre, il faut le faire, pour ceux qui ne le peuvent pas.

La couleur des sentiments est un film qui démontré toute ces choses, tout ces faits, il est très beau et empli de courage du début à la fin, en nous laissant imaginer, que même à la fin du film, le combat est loin d'être fini. Je le conseille vivement, si vous pensez comme moi dans ce que j'ai écrit au dessus. "

Mac Murphy, détenu en prison pour plusieurs fait d'agressions, simule la folie pour purger sa peine dans un hôpital psychiatrique. Il pense ( à tort ) qu'il sera mieux traité et aura plus de liberté là bas. Son arrivée sème le trouble parmi les pensionnaires qui sont devenu apathiques, sous l'autorité de l'infirmière en chef Miss Ratched.
Il va défier toutes autorités qui s'imposent à lui dans l'hôpital et briser toutes les règles, mais est ce que cela sera sans conséquences ?

" En apparence, pour les gens qui n'ont pas connu ou côtoyé de près ou de loin un hôpital psychiatrique, que se soit à l'heure d'aujourd'hui ou à l'époque du tournage, les gens pourront penser que ce film devrait être classé dans la catégorie des humoristiques. Il n'en est rien, toute pratiques utilisée dans ce film étaient réelle à l'époque. Les personnes malades interprétée, sont des portraits réelle et existant encore à l'heure actuelle. Comment je le sais ? c'est évident, non ?
J'aime beaucoup ce film, pour son histoire, pour la pensée que les gens avaient et on encore à l'époque, que la prison c'est mieux qu'un centre psychiatrique, ça reste une prison dans les 2 cas, et en hôpital on vous sous estime d'autant plus, car si vous y êtes enfermé, c'est que vous avez perdu tout vos droits et toute votre crédibilités en tant qu'être humain, on ne vous écoutera plus sérieusement, et pour vous faire passer le temps on vous endormira avec des médicaments ou des paroles répétitives. La note d'humour ajoutée, vient du fait qu'en réalité, Mac Murphy n'est pas fou au sens proprement dit du terme. C'est un originale, qui aime faire la fête et déconner à l'excès, au point de ne plus bien ce rendre compte de ce qu'il fait sous l'effet de l'alcool et sous ses impulsions, ce qui l'a conduit en prison à la base.

Dans la société actuelle, qui n'est pas comme lui ? Surtout avec toute les libérations sociale ( qui sont une prison pour d'autre) qui existent en ce jour. Beaucoup réagirons, dans sa situation, de manière similaire, c'est pour cela que le film fait sourire, après Mac Murphy à sa personnalité et des agissements parfois extrême sans penser au retombée, car le domaine de la psychiatrie à l'époque ( et encore aujourd'hui) est méconnu.. C'est un très beau film, avec son histoire, son sens, son comment du pourquoi et bien sur, sa morale à la fin ( et même pendant). Je vous le recommande, mais je le déconseille aux moins de 12 ans. "

Ce film est issu de fait réelle, il se déroule au début des années 1940.
Irena est employée par l'Aide Sociale de Varsovie ce qui lui permet d'entrer et de sortir régulièrement du ghetto. Consciente que la vie de toute la population du ghetto est menacée, elle commence tout d'abord par sauver la fille d'un de ses amis juifs, en la cachant dans une famille catholique.
Ce n'est que le début.. Irena aidera beaucoup d'autres enfants à s'échapper en usant de tous les stratagèmes possibles et imaginables, comme les trous dans les murs, des ambulances et même des valises, sans jamais réveiller les soupçons de la Gestapo, mais jusqu'à quand ?

" Ce film, montre pour moi que lorsqu'il nous semble ne plus avoir d'espoir, que lorsque tout le monde même nos proches essaye de nous expliquer que ce que l'on désire faire est impossible ou trop dangereux, il faut tout faire pour arriver à son but, pour une cause qui nous semble bonne et louable. J'admire cette femme, son courage face à toutes épreuve, ce film raconte une partie de son histoire, et une autre partie se trouve sur ce blog dans la rubrique " personnes que j'admire", je vous conseille vivement ce film, il ne s'apitoie sur rien, ce film ne pleure personne bien au contraire. j'aime particulièrement bien la phrase qu'elle tiens de son père " lorsque l'on voit quelqu'un se noyer, il faut tout faire pour lui venir en aide, même si on ne sait pas nager ",  cette phrase est très juste et pleine de bon sens et de bon sentiments pour moi, j'ai vraiment beaucoup aimé ce film et je l'ai regardé un nombre incalculable de fois "