• Pour l'amour de notre sauveur, notre frère Jésus Christ.
    Magnifique chanson 


    votre commentaire
  • Avec cette musique je me sens plus proche de notre Seigneur, elle me fait pleurer d'un amour réciproque et infini entre moi et notre Seigneur l'Eternel


    8 commentaires
  •  

     Ceux qui sont en laisse

     

    Tu voulais du médiocre et moi, j'en avais pas
    Tu voulais l'Univers et moi, j'avais que moi
    Tu voulais le silence quand j'étais que musique
    Qu'on marche parallèle quand j'allais qu'à l'oblique
    Tu voulais des rivières au milieu du désert
    Tu voulais les voyages, moi, j'étais sédentaire
    Que je fasse des chansons qui m'emmènent au sourire
    J'y peux rien, moi, je n'ai que des larmes à leur dire
    Et des plaines de pluies pour unique empire

    Quand je serai parti, que lira mes poèmes
    Un autre romantique qui se verra en moi
    Il se dira sans doute "Oh c'est beau comme il l'aime !"
    Mais qu'il sache que je n'ai jamais aimé que moi
    Qu'au lit ou dans le cœur l'égoïsme est la mère
    Des générosités

    Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elles
    D'être comme un nuage qui recherche son ciel
    De n'être qu'un navire toujours à la détresse
    Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse

    Pardonnez-moi, vous tous qui vous liez les mains
    Vous qui pensez qu'à deux vous ferez mieux le chemin
    Vous qui pensez que l'autre vous sauvera la peau
    Alors que de votre âme il fera des lambeaux
    En amour, que l'on soit le plus grand des guerriers
    Ou la triste brebis qui cherche le berger
    On finit tous à terre à chercher les morceaux
    Au bord du précipice à deux pas du grand saut
    A deux pas du tombeau


    votre commentaire
  • Que Tout Est Noir:

     

    Des jours qui ne ressemblent qu'à l'ombre des nuits
    Des silences qui résonnent à l'âme comme un cri
    Quand les paupières n'ont même plus la force des orages
    Quand, porté par les flots, je ne vois plus rivage
    Des amours qui sont nées aux mauvaises saisons
    Quand l'printemps a tardé à ouvrir ses bourgeons
    Des lunes toujours pleines qui ne me sourient plus
    Comme jouer aux échecs quand la reine est perdue

    Que tout est noir
    Que tout est noir
    Comment te dire
    Que tout est noir
    Comment j'ai peur
    Comment j'ai froid
    Comment te dire
    Quand t'es pas là
    Que moi sans toi
    Ca ne veut rien dire
    Comment te dire, dis-moi
    Comment te dire
    Que moi sans toi
    C'est comme un rire
    Qui trouve pas
    Vers où mourir

    Mes sciences qui ressemblent qu'à l'ombre du doute
    Le bien qui fait du mal quand le mal vous envoûte
    Quand au cœur de l'iris c'est le temps des moussons
    Qui vient noyer le blé juste avant la moisson
    Dans les travers du temps, je sais, je t'ai perdue
    Et tu l'as dit cent fois, tu ne reviendras plus
    Alors je peux partir comme un loup solitaire
    Qui, blessé, s'en ira mourir auprès d'un hêtre
    Moi, j'aurais tant voulu que cet être soit toi
    Tant voulu avec toi être un autre que moi
    Au profond de ton ventre faire plus belle la Terre
    Oublier qui je suis et fermer les paupières

    Que tout est noir
    Que tout est noir
    Comment te dire
    Que tout est noir
    Comment j'ai peur
    Comment j'ai froid
    Comment te dire
    Quand t'es pas là
    Que moi sans toi
    Ca ne veut rien dire
    Comment te dire
    Comment te dire
    Que moi sans toi
    C'est comme un rire
    Comme un triste navire
    Qui sait pas où partir

    Quand on est tellement seul que même la solitude
    Vous semble être une amie dont on se passerait
    Celle qui fut toujours là depuis le premier souffle
    Qui depuis ce jour-là ne veut plus vous quitter
    Quand vous ne savez plus qu'un jour vous saviez rire
    Quand le mal a choisi votre âme pour empire
    Quand tous les romantiques et les tristes du monde
    Ont choisi votre cœur pour se mettre à pleurer

    Que tout est noir
    Que tout est noir
    Comment te dire
    Que tout est noir
    Comment j'ai peur
    Comment j'ai froid
    Comment te dire
    Quand t'es pas là
    Que moi sans toi
    Ca ne veut rien dire
    Comment te dire, dis-moi
    Comment te dire
    Que moi sans toi
    C'est comme un rire
    Qui trouve pas
    Vers où mourir

     


    votre commentaire
  • Les paroles de cette musique sont vraiment intéressante, par rapport à beaucoup de personnes parlant sur internet ( facebook, forum ect.. )

    il m'est arrivé à des centaines de reprise, de lire des mots qui étaient indéchiffrable.

    Je ne suis pas une spécialiste de la langue française, je fais des fautes ( d'inattention, de frappes et autres ), mais comparé à d'autres je me trouve encore bien douée.


    Des français, qui parlent une langue étrange et inconnue et qui s'expriment moins bien que mon neveu de 2ans oralement.


    Alors quand je fais une petite réflexion on me répond ce genre de chose : 

    " oué mé c 2 labregé tu coné ri1  c pr alé + vit" 

    et il y a peu j'ai vue ceci : 

    " orrier vous lamabilité de.."

    2éme générations de langage sms ? Je ne penses pas, pour le premier exemple peut être.. mais le 2éme excusez moi, mais j'ai vraiment mis du temps à comprendre ce que la personne voulait dire.
    En plus de ne plus mettre de signes de ponctuations, les mots sont totalement réinventé.

    Étrangement, dans le répertoire des insultes les mots sont parfois mieux orthographié.. Vas t'on vivre dans une génération de personnes où la seule chose qui savent écrire et faire plus ou moins correctement, sont d'insulter ? Vas t'on inventer un nouveau dictionnaire, une nouvelle conjugaison où " Orrier vous " sera défini pour les anciens  en " Auriez vous ".

    Soit, cette musique défini bien une majorité de personnes à l'heure actuelle. 

     


    1 commentaire